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•••♦ Maître Minoru Mochizuki ♦•••

Maître Minoru Mochizuki - De 1932 à 2003

En 1932, Me Mochizuki et Me Tomiki, reçoivent des mains de Me Ueshiba, le Menkyo Kaiden du Daito Ryu Aikijujutsu.
Me Minoru Mochizuki a fondé son système sur un résumé de tous les arts martiaux qu’il a étudiés. Il a modernisé et a ajusté ce système sans emporter les techniques qui semblaient illogiques. Il fonda l’organisation Yoseikan international.

Envoyé en Mongolie en 1938 suite au déclenchement de la guerre entre la Chine et le Japon, il enseigna le Kendo et l’Aïkijutsu et appris de son côté le Karaté.
En 1951, il fait partie de la délégation culturelle du Japon pour la réunion de l’UNESCO à Genève, comme expert délégué par le Kodokan pour démontrer le Judo en France, en Suisse et en Tunisie.

C’est au cours d’une compétition internationale de Judo à Paris, qu’il effectua la première démonstration d’Aïkido Jujutsu à l’Ouest, art qui subjugua un bon nombre de pratiquants de judo En 1953, il fût obligé de quitter de la France pour ses propos anti-nucléaire.

De retour au Japon et sur sa demande, Me Ueshiba délègue pour la France, un jeune maître Tadashi ABE, dont le style était très proche de l’Aikibudo. Décernée par le bureau municipal, Me Minoru Mochizuki reçoit la médaille d’argent de la ville de Paris.

Il en profita pour montrer également le Iaïdo, le Kendo et un peu de Karaté. Il est donc le pionnier de l’Aïkido en France, où pendant 2 ans et demi il enseigne le Judo et l’Aïkido, il écrit même un livre sur l’Aïkido et un fascicule sur la boxe française, avant son départ en 1953.

Il envoya en France en 1962 son fils Hiroo Mochizuki et resta en contacts très étroits avec Me Alain Floquet depuis cette époque et jusqu’à la fin de sa vie en 2003.

Il a définit le nom de son dojo par trois idéogrammes simples :

YO définit le concept d’apprentissage et croissance en prospérité.
SEI définit le concept de vérité, bon, droiture et d’attitude positive.
KAN définit le concept d’endroit, un édifice ou une maison.

Maître Minoru Mochizuki

De 1932 à 2003

En 1932, Me Mochizuki et Me Tomiki, reçoivent des mains de Me Ueshiba, le Menkyo Kaiden du Daito Ryu Aikijujutsu.
Me Minoru Mochizuki a fondé son système sur un résumé de tous les arts martiaux qu’il a étudiés. Il a modernisé et a ajusté ce système sans emporter les techniques qui semblaient illogiques. Il fonda l’organisation Yoseikan international.

Envoyé en Mongolie en 1938 suite au déclenchement de la guerre entre la Chine et le Japon, il enseigna le Kendo et l’Aïkijutsu et appris de son côté le Karaté.
En 1951, il fait partie de la délégation culturelle du Japon pour la réunion de l’UNESCO à Genève, comme expert délégué par le Kodokan pour démontrer le Judo en France, en Suisse et en Tunisie.

C’est au cours d’une compétition internationale de Judo à Paris, qu’il effectua la première démonstration d’Aïkido Jujutsu à l’Ouest, art qui subjugua un bon nombre de pratiquants de judo En 1953, il fût obligé de quitter de la France pour ses propos anti-nucléaire.

De retour au Japon et sur sa demande, Me Ueshiba délègue pour la France, un jeune maître Tadashi ABE, dont le style était très proche de l’Aikibudo. Décernée par le bureau municipal, Me Minoru Mochizuki reçoit la médaille d’argent de la ville de Paris.

Il en profita pour montrer également le Iaïdo, le Kendo et un peu de Karaté. Il est donc le pionnier de l’Aïkido en France, où pendant 2 ans et demi il enseigne le Judo et l’Aïkido, il écrit même un livre sur l’Aïkido et un fascicule sur la boxe française, avant son départ en 1953.

Il envoya en France en 1962 son fils Hiroo Mochizuki et resta en contacts très étroits avec Me Alain Floquet depuis cette époque et jusqu’à la fin de sa vie en 2003.

Il a définit le nom de son dojo par trois idéogrammes simples :

YO définit le concept d’apprentissage et croissance en prospérité.
SEI définit le concept de vérité, bon, droiture et d’attitude positive.
KAN définit le concept d’endroit, un édifice ou une maison.

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